jlj n°7 - journal d'un autre 4
Vendredi 27-02-2009
Ce jeudi, on sent le mouvement de reprise ici; il y a deux éléments qui sont décisifs: l’un s’apaise, l’autre s’énerve. Pour l'instant, j'observe. Assis au premier rang, j’arbore un petit sourire entendu. Je demande pardon pour ceux que j’ai blessés, histoire de... Il y a ceux qui ont l’habitude, ceux qui prévoient, ceux qui viennent de loin, ceux qu’on a amenés là…..Je m’attache à dissiper les malentendus avant ma visite prévue pour la fin mars. Les choses s'accélèrent. Les premiers pas pourtant ont été hésitants, on y reviendra. Avant la visite "on" (qui?, je préfère le cacher pour l'instant) veut me dissuader de faire réfèrence à certaine idéologie soi disant caduque dans mes remarques. N’empêche, chez les visiteurs, chacun semble trouver là une évocation qui lui convient. Personnellement, il m'a d'abord semblé qu’il y avait des propositions qui avaient du sens; mais le résultat dépasse tous les espoirs, vraiment oui ça ne pouvait pas tomber mieux, à tel point que certaines mesures prises en envisageant le pire commencent par devenir obsolètes, qui s'en plaindrait ?
Des ombres passent. Voyant venir la fin de crise, je me réveille doucement.
Sources: Thomas Hofnung, Sibylle Vincendon, Eric Favereau, Vincent Noce (Libération)
Ce jeudi, on sent le mouvement de reprise ici; il y a deux éléments qui sont décisifs: l’un s’apaise, l’autre s’énerve. Pour l'instant, j'observe. Assis au premier rang, j’arbore un petit sourire entendu. Je demande pardon pour ceux que j’ai blessés, histoire de... Il y a ceux qui ont l’habitude, ceux qui prévoient, ceux qui viennent de loin, ceux qu’on a amenés là…..Je m’attache à dissiper les malentendus avant ma visite prévue pour la fin mars. Les choses s'accélèrent. Les premiers pas pourtant ont été hésitants, on y reviendra. Avant la visite "on" (qui?, je préfère le cacher pour l'instant) veut me dissuader de faire réfèrence à certaine idéologie soi disant caduque dans mes remarques. N’empêche, chez les visiteurs, chacun semble trouver là une évocation qui lui convient. Personnellement, il m'a d'abord semblé qu’il y avait des propositions qui avaient du sens; mais le résultat dépasse tous les espoirs, vraiment oui ça ne pouvait pas tomber mieux, à tel point que certaines mesures prises en envisageant le pire commencent par devenir obsolètes, qui s'en plaindrait ?
Des ombres passent. Voyant venir la fin de crise, je me réveille doucement.
Sources: Thomas Hofnung, Sibylle Vincendon, Eric Favereau, Vincent Noce (Libération)